A nice place to live leave. 2003.
Acrylique sur bois, textes sur papier polypropylene. 138cm X 322cm.
Acrylic on wood, printed texts. 138cm X 322cm.
Acrylique sur bois, textes sur papier polypropylene. 138cm X 322cm.
Acrylic on wood, printed texts. 138cm X 322cm.
Acrylique sur bois, textes sur papier polypropylene. 138cm X 322cm.
Acrylic on wood, printed texts. 138cm X 322cm.
Acrylique sur bois, textes sur papier polypropylene. 138cm X 322cm.
Acrylic on wood, printed texts. 138cm X 322cm.
A nice place to live leave. 2003.
(série de quatre-vingt-onze éléments)
Ce projet développé dans le cadre de l’événement du Symposium international d’art de Baie-Saint-Paul vise à créer une corrélation entre les villes de l’ici – espaces routiniers, appartenant à la déambulation quotidienne – et les villes de l’ailleurs – lieux mythiques, désirés, qui contribuent à alimenter un imaginaire collectif propre à nos sociétés organisées et sédentaires. À la manière du journal personnel, l’architecture résidentielle de la ville de Baie-Saint-Paul est peinte au jour le jour dans un processus quotidien et répétitif. De plus, la participation du public est mise à contribution en les invitant à donner un souvenir personnel de voyage (sous la forme d’un court texte) empreint d’un affect particulier. Ce micro-récit est introduit dans l’œuvre ponctuant la séquence visuelle et vient ainsi rompre avec les repères familiers des maisons de Baie-Saint-Paul, symbole de longs déferlements des jours tranquilles, au cœur d’un paysage idyllique. https://voir.ca/arts-visuels/2003/08/13/symposium-international-dart-contemporain-de-baie-saint-paul-journal-de-mer/
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This project was developed for Symposium international d’art de Baie-Saint-Paul. My objective was to create a correlation between cities here – the humdrum routine of a daily walk – and elsewhere – mythical desirable places that feed our organized and sedentary societies’ collective imagination. In the form of a personal diary, I painted images of Baie-Saint-Paul’s residential architecture everyday as a repetitive daily process. The public participated as well: I invited them to give me a personal impression of a trip in the form of a brief text. I then introduced this short story, imbued with a particular feeling, into the work to mark a visual sequence and interrupt the familiar Baie-Saint-Paul landmarks, houses that symbolize the lengthy unfolding of peaceful days in the midst of an idyllic landscape. |